Et tout cela au nom de la résorption du trou de la sécu, de l’équilibre des comptes entre les recettes et les dépenses.
Les choix à faire pour augmenter les recettes relèvent de choix de société : il s’agit de la répartition des richesses. En 20
ans la répartition de la richesse a évolué négativement pour les salariés : 10% de la richesse est passée des mains des
salariés à celles des entreprises et de leurs actionnaires. Le rétablissement de cette répartition et la création d’emplois
(donc de cotisations) permettraient le financement de la sécu et des retraites.

En tout état de cause, pour nous, la prévention et le traitement de la maladie doivent être garantis à tous les patients,
nous sommes pour la gratuité des soins. Le soin n’est pas une marchandise.