En cause le complément d’information réclamé par le juge lors de
l’audience de comparution immédiate le 7 décembre dernier : les
conclusions de l’instruction ont été rendues la veille de la date prévue
initialement pour le procès, si bien que ni le juge ni les avocats
n’avaient eu le temps d’en prendre connaissance.

Avec un procès à froid et un minimum d’exposition médiatique les "gardiens de la paix" espèrent obtenir un jugement en leur faveur, c’est-à-dire de se voir attribuer des dommages et intérêts (car c’est bien de cela dont il s’agit, s’offrir une prime sur le dos de la contestation).

C’est pourquoi nous devrons être toujours aussi nombreux le 13 mars devant le tribunal afin de maintenir la pression.